Nos avis concernant la construction de 11 maisons de vacances à Bende chemin de la Source

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Attention ! Suite à une erreur d’affichage, la période de consultation est prolongée. Il est donc toujours possible de rendre un avis à ce sujet.

Le voici… nos avis car ici, il y en a deux.
Les avis de Pascale et Bernard avis-bende-chemin-de-la-source-pdf-web

L’avis rendu par Jacques Réponse aux annonces de projet

Une partie du dossier se trouve ici, le lotissement et prescriptions 83012-LTS-0322-00 en zip

Une partie des avis.

Collège de la Ville de Durbuy
Via mail urbanisme@durbuy.be

Concerne : les projets immobiliers N° 2022/0192 à 2022/0202
Chemin de la Source à Bende par la Société Espace Ardennes Provence.

Remarque :
Nous souhaitons recevoir les avis rendus par le collège au sujet de ces projets.

Arguments

Nous reprenons ici les arguments développés par Madame Pascale Fettweis de Barvaux.
Ces arguments nous paraissent sans appel.
Ceci est la première partie de cet argumentaire. La seconde partie se trouve en page quatre de ce document

Je suis fortement étonnée que ce type de projet soit encore envisagé à ce jour …
Alors que par ailleurs, les citoyens sont invités à participer à des Comités de réflexions
sur le Climat, l’Energie, les GES, la gestion de l’Eau, l’Alimentation saine pour tous et le « Tourisme durable » … ?!

Nous sommes certes dans une époque où les investissements immobiliers sont plus rentables qu’un carnet d’épargne …
Première constatation : Le promoteur fait mention de villas unifamiliales alors qu’il s’agit en fait d’un lotissement de villas de vacances !
De plus, les projets présentés dérogent aux critères d’urbanisme du lieu .et ne seraient donc pas harmonieux ou compatibles avec les autres bâtiments du village.

Par ailleurs, il devient VITAL de prendre en compte la branche sur laquelle nous sommes assis !
• Les terres agricoles et celles à USAGE agricole sont à préserver ABSOLUMENT
pour ainsi réserver les producteurs locaux, laisser la possibilité à de potentiels néo-ruraux de tenter l’aventure agricole, pour préserver la qualité des paysages,
pour préserver les bocages et les niches écologiques …
• Certains villages de la Commune sont jusqu’à ce jour préservés d’un afflux touristique de masse et c’est fort bien !  Car il y a aussi des citoyens de la Commune et des visiteurs amateurs de nature et d’authenticité qui fréquentent ces villages et ces campagnes sans « les envahir »…

• Il est clairement fait mention, sur le site du promoteur, de l’attrait touristique de la région suite à l’arrivée de Coucke à Durbuy , ce qui attire donc d’autres investisseurs qui n’ont de cesse de venir bétonner nos campagnes avec de luxueuses villas ! …
Est-ce de ce monde-là que nous (citoyens de la Commune) avons le souhait ?  Certes, Durbuy-Vieille Ville est vendue au tourisme comme source d’activité économique de la Commune… Cela n’implique pas que TOUS les villages doivent suivre dans cette folie immobilière (et tout ce que cela implique) !
Car qui dit projet immobilier (de luxe), dit aussi afflux de véhicules, avec passages fréquents dans les rues paisibles de ces villages où les enfants jouent !

• Dans le dossier du promoteur, il est question de villa avec piscine en option, 4 chambres et 3 salles de bain …   A nouveau, est-ce bien sérieux d’envisager 11 piscines privées (avec jacuzzi et sauna !) et 33 salles de bain, alors que chaque année des canicules surviennent et une pénurie d’eau menace et met en péril les activités agricoles, maraichères, potagères et aussi simplement la quiétude des habitants de la région ?!

• Il est de la responsabilité du pouvoir politique Communal de trouver un judicieux équilibre entre une activité économique, la préservation de l’environnement et du cadre de vie, la qualité de vie de ses habitants (et électeurs !), la préservation du potentiel VIVANT de son territoire (les forêts, les terres agricoles, les rivières, les sols, l’air, la biodiversité, …) .
Nous savons que les procédures de « compensation » sont inégales en termes de biodiversité et de spécificités de biotopes, ainsi que dans la qualité de l’air et la qualité de vie des voisins de ce type de projet.
Et au fil des années nous sommes en droit de nous questionner sérieusement sur un équilibre qui semble basculer du côté obscur …
• Par ailleurs, des jeunes ménages ainsi que certains habitants de la Commune peinent à trouver un logement adéquat à un prix raisonnable …
Car cet attrait des projets immobiliers touristiques rend les prix des terrains, des maisons et des loyers inabordables pour beaucoup d’habitants !
• N’oublions pas que ce qui fait le charme de notre région c’est justement les paysages, la rivière, les forêts, les producteurs de légumes, de fromages et de viande, les balades insouciantes en vélo avec les enfants et le chien sur des chemins bucoliques …
A vouloir (ou permettre) toujours plus (d’investisseurs, d’immobiliers, de villas de vacances, de gîtes, de manifestations de loisirs, de rassemblements divers …)
notre région est en train de perdre son âme et ce qui fait sa véritable richesse !

Intégralité de la promo sur le site du promoteur

 

Bende – Durbuy • Espace Ardennes & Provence

 

 

Et le climat dans tout ça ?

Le rapport du Giec publié le 20 mars 2023 est le même que celui auquel nous faisons référence depuis 2021 à un détail près, c’est qu’il a été approuvé par une majorité des nations du monde dont la Belgique.
Pour ce faire, il a été modifié dans son apparence mais non dans son contenu scientifique.
La Belgique a co-signé ce document et (s’)engage à ce niveau l’ensemble des corps élus, compris les communes et Durbuy.

Pour rappel également, les communes sont pénalement responsables des atteintes à l’environnement qu’elles auraient provoquées ou couvertes.

A.1  Les  activités  humaines,  principalement  par  le  biais  des  émissions  de  gaz  à  effet  de  serre,  ont  sans  équivoque  causé  le  réchauffement
climatique,  avec  une  température  de  surface  mondiale  atteignant  1,1 °C  au­dessus  de  1850­1900  en  2011­2020.  Les  émissions
mondiales  de  gaz  à  effet  de  serre  ont  continué  d’augmenter,  avec  des  contributions  historiques  et  actuelles  inégales  résultant  de
l’utilisation  non  durable  de  l’énergie,  de  l’utilisation  des  terres  et  du  changement  d’affectation  des  terres,  des  modes  de  vie  et  des  modes
de  consommation  et  de  production  entre  les  régions,  entre  les  pays  et  au  sein  des  pays,  et  entre  les  individus  (confiance  élevée ).

A.2  Des  changements  étendus  et  rapides  se  sont  produits  dans  l’atmosphère,  l’océan,  la  cryosphère  et  la  biosphère.  Le
changement  climatique  d’origine  humaine  affecte  déjà  de  nombreux  phénomènes  météorologiques  et  climatiques  extrêmes
dans  toutes  les  régions  du  monde.  Cela  a  entraîné  des  impacts  négatifs  généralisés  et  des  pertes  et  dommages  connexes  pour
la  nature  et  les  personnes  (degré  de  confiance  élevé).  Les  communautés  vulnérables  qui  ont  historiquement  le  moins  contribué
au  changement  climatique  actuel  sont  touchées  de  manière  disproportionnée  (degré  de  confiance  élevé)

A.3  La  planification  et  la  mise  en  œuvre  de  l’adaptation  ont  progressé  dans  tous  les  secteurs  et  toutes  les  régions,  avec  des  avantages
documentés  et  une  efficacité  variable.  Malgré  les  progrès,  des  lacunes  en  matière  d’adaptation  existent  et  continueront  de  croître  au
rythme  actuel  de  mise  en  œuvre.  Des  limites  strictes  et  souples  à  l’adaptation  ont  été  atteintes  dans  certains  écosystèmes  et  régions.
Une  mauvaise  adaptation  se  produit  dans  certains  secteurs  et  régions.

A.4  Les  politiques  et  les  lois  relatives  à  l’atténuation  se  sont  constamment  développées  depuis  le  RE5.  Les  émissions  mondiales
de  GES  en  2030  impliquées  par  les  contributions  déterminées  au  niveau  national  (NDC)  annoncées  d’ici  octobre  2021  rendent
probable  que  le  réchauffement  dépasse  1,5  °C  au  cours  du  21e  siècle  et  rend  plus  difficile  la  limitation  du  réchauffement  en
dessous  de  2  °C.  Il  existe  des  écarts  entre  les  émissions  projetées  des  politiques  mises  en  œuvre  et  celles  des  CDN  et  les  flux
financiers  sont  inférieurs  aux  niveaux  nécessaires  pour  atteindre  les  objectifs  climatiques  dans  tous  les  secteurs  et  toutes  les
régions.  (confiance  élevée)

B.1  La  poursuite  des  émissions  de  gaz  à  effet  de  serre  entraînera  une  augmentation  du  réchauffement  climatique,  la  meilleure
estimation  étant  d’atteindre  1,5 °C  à  court  terme  dans  les  scénarios  envisagés  et  les  trajectoires  modélisées.  Chaque  augmentation  du
réchauffement  climatique  intensifiera  les  risques  multiples  et  simultanés  (degré  de  confiance  élevé).  Des  réductions  profondes,  rapides
et  soutenues  des  émissions  de  gaz  à  effet  de  serre  conduiraient  à  un  ralentissement  perceptible  du  réchauffement  climatique  d’ici
environ  deux  décennies,  ainsi  qu’à  des  changements  perceptibles  de  la  composition  atmosphérique  en  quelques  années  (confiance
élevée) .

B.2  Pour  tout  niveau  de  réchauffement  futur  donné,  de  nombreux  risques  liés  au  climat  sont  plus  élevés  que  ceux  évalués  dans  le  RE5,  et
les  impacts  à  long  terme  projetés  sont  jusqu’à  plusieurs  fois  plus  élevés  que  ceux  actuellement  observés  (degré  de  confiance  élevé) .  Les
risques  et  les  impacts  négatifs  projetés  ainsi  que  les  pertes  et  dommages  liés  au  changement  climatique  s’intensifient  à  chaque  augmentation
du  réchauffement  climatique  (degré  de  confiance  très  élevé).  Les  risques  climatiques  et  non  climatiques  vont  de  plus  en  plus  interagir,  créant
des  risques  composés  et  en  cascade  qui  sont  plus  complexes  et  difficiles  à  gérer  (degré  de  confiance  élevé)

B.3  Certains  changements  futurs  sont  inévitables  et/ou  irréversibles  mais  peuvent  être  limités  par  une  réduction  profonde,  rapide  et  soutenue  des
émissions  mondiales  de  gaz  à  effet  de  serre.  La  probabilité  de  changements  brusques  et/ou  irréversibles  augmente  avec  des  niveaux  de  réchauffement
planétaire  plus  élevés.  De  même,  la  probabilité  de  résultats  à  faible  probabilité  associés  à  des  impacts  négatifs  potentiellement  très  importants
augmente  avec  des  niveaux  de  réchauffement  planétaire  plus  élevés.  (confiance  élevée)

B.4  Les  options  d’adaptation  qui  sont  réalisables  et  efficaces  aujourd’hui  deviendront  limitées  et  moins  efficaces  avec  l’augmentation  du
réchauffement  climatique.  Avec  l’augmentation  du  réchauffement  climatique,  les  pertes  et  les  dommages  augmenteront  et  d’autres
systèmes  humains  et  naturels  atteindront  leurs  limites  d’adaptation.  La  mauvaise  adaptation  peut  être  évitée  par  une  planification  et  une
mise  en  œuvre  flexibles,  multisectorielles,  inclusives  et  à  long  terme  d’actions  d’adaptation,  avec  des  co­bénéfices  pour  de  nombreux
secteurs  et  systèmes.  (confiance  élevée)

B.5  Limiter  le  réchauffement  climatique  d’origine  humaine  nécessite  des  émissions  nettes  de  CO2  nulles.  Les  émissions  de  carbone
cumulées  jusqu’au  moment  où  les  émissions  nettes  de  CO2  seront  nulles  et  le  niveau  de  réduction  des  émissions  de  gaz  à  effet  de  serre
au  cours  de  cette  décennie  déterminent  en  grande  partie  si  le  réchauffement  peut  être  limité  à  1,5 °C  ou  2 °C  (degré  de  confiance  élevé).
Les  émissions  de  CO2  projetées  des  infrastructures  de  combustibles  fossiles  existantes  sans  réduction  supplémentaire  dépasseraient  le
budget  carbone  restant  de  1,5 °C  (50 %)  (degré  de  confiance  élevé)

B.6  Toutes  les  trajectoires  mondiales  modélisées  qui  limitent  le  réchauffement  à  1,5 °C  (>50 %)  sans  dépassement  ou  avec  un
dépassement  limité,  et  celles  qui  limitent  le  réchauffement  à  2 °C  (>67 %),  impliquent  un  réchauffement  rapide  et  profond  et,  dans  la
plupart  des  cas,  réductions  immédiates  des  émissions  de  gaz  à  effet  de  serre  dans  tous  les  secteurs  au  cours  de  cette  décennie.  Les
émissions  mondiales  nettes  de  CO2  sont  atteintes  pour  ces  catégories  de  voies,  respectivement  au  début  des  années  2050  et  vers  le
début  des  années  2070.

B.7  Si  le  réchauffement  dépasse  un  niveau  spécifié  tel  que  1,5  °C,  il  pourrait  être  progressivement  réduit  à  nouveau  en
atteignant  et  en  maintenant  des  émissions  globales  négatives  nettes  de  CO2.  Cela  nécessiterait  un  déploiement  supplémentaire
de  l’élimination  du  dioxyde  de  carbone,  par  rapport  aux  voies  sans  dépassement,  ce  qui  entraînerait  de  plus  grandes
préoccupations  en  matière  de  faisabilité  et  de  durabilité.  Le  dépassement  entraîne  des  impacts  négatifs,  certains  irréversibles,
et  des  risques  supplémentaires  pour  les  systèmes  humains  et  naturels,  qui  augmentent  tous  avec  l’ampleur  et  la  durée  du
dépassement.  (confiance  élevée)

C.1  Le  changement  climatique  est  une  menace  pour  le  bien­être  humain  et  la  santé  planétaire  (degré  de  confiance  très  élevé).  Il
existe  une  fenêtre  d’opportunité  qui  se  referme  rapidement  pour  assurer  un  avenir  viable  et  durable  pour  tous  (degré  de  confiance
très  élevé).  Le  développement  résilient  au  climat  intègre  l’adaptation  et  l’atténuation  pour  faire  progresser  le  développement  durable
pour  tous,  et  est  rendu  possible  par  une  coopération  internationale  accrue,  y  compris  un  meilleur  accès  à  des  ressources  financières
adéquates,  en  particulier  pour  les  régions,  secteurs  et  groupes  vulnérables,  et  une  gouvernance  inclusive  et  des  politiques
coordonnées  (degré  de  confiance  élevé) .  Les  choix  et  les  actions  mis  en  œuvre  au  cours  de  cette  décennie  auront  des  impacts
maintenant  et  pendant  des  milliers  d’années  (degré  de  confiance  élevé)

C.2  Une  atténuation  profonde,  rapide  et  soutenue  et  une  mise  en  œuvre  accélérée  des  mesures  d’adaptation  au  cours  de  cette  décennie
réduiraient  les  pertes  et  les  dommages  prévus  pour  les  humains  et  les  écosystèmes  (confiance  très  élevée)  et  offriraient  de  nombreux
avantages  connexes,  en  particulier  pour  la  qualité  de  l’air  et  la  santé  (confiance  élevée ).
Des  mesures  d’atténuation  et  d’adaptation  retardées  bloqueraient  les  infrastructures  à  fortes  émissions,  augmenteraient  les  risques
d’actifs  bloqués  et  d’escalade  des  coûts,  réduiraient  la  faisabilité  et  augmenteraient  les  pertes  et  les  dommages  (degré  de  confiance
élevé).  Les  actions  à  court  terme  impliquent  des  investissements  initiaux  élevés  et  des  changements  potentiellement  perturbateurs  qui
peuvent  être  atténués  par  une  série  de  politiques  habilitantes  (confiance  élevée)

C.3  Des  transitions  rapides  et  profondes  dans  tous  les  secteurs  et  systèmes  sont  nécessaires  pour  parvenir  à  des  réductions  d’émissions
profondes  et  durables  et  assurer  un  avenir  viable  et  durable  pour  tous.  Ces  transitions  de  système  impliquent  une  mise  à  l’échelle
significative  d’un  large  portefeuille  d’options  d’atténuation  et  d’adaptation.
Des  options  d’atténuation  et  d’adaptation  réalisables,  efficaces  et  peu  coûteuses  sont  déjà  disponibles,  avec  des  différences  entre  les
systèmes  et  les  régions.  (confiance  élevée)

C.4  Une  action  accélérée  et  équitable  pour  atténuer  et  s’adapter  aux  impacts  du  changement  climatique  est  essentielle  au
développement  durable.  Les  actions  d’atténuation  et  d’adaptation  ont  plus  de  synergies  que  de  compromis  avec  les  objectifs  de
développement  durable.  Les  synergies  et  les  compromis  dépendent  du  contexte  et  de  l’échelle  de  mise  en  œuvre.  (confiance  élevée)

C.5  Donner  la  priorité  aux  processus  d’équité,  de  justice  climatique,  de  justice  sociale,  d’inclusion  et  de  transition  juste  peut  permettre
des  actions  d’adaptation  et  d’atténuation  ambitieuses  et  un  développement  résilient  au  changement  climatique.  Les  résultats  de
l’adaptation  sont  améliorés  par  un  soutien  accru  aux  régions  et  aux  personnes  les  plus  vulnérables  aux  aléas  climatiques.  L’intégration
de  l’adaptation  climatique  dans  les  programmes  de  protection  sociale  améliore  la  résilience.
4.5.3,  4.5.5,  4.5.6}
De  nombreuses  options  sont  disponibles  pour  réduire  la  consommation  à  forte  intensité  d’émissions,  y  compris  par  des  changements
de  comportement  et  de  mode  de  vie,  avec  des  co­avantages  pour  le  bien­être  de  la  société.  (confiance  élevée)

C.6  Une  action  climatique  efficace  est  rendue  possible  par  un  engagement  politique,  une  gouvernance  à  plusieurs  niveaux  bien
alignée,  des  cadres  institutionnels,  des  lois,  des  politiques  et  des  stratégies  et  un  meilleur  accès  au  financement  et  à  la  technologie.
Le  soutien  politique  est  influencé  par  les  acteurs  de  la  société  civile,  y  compris  les  entreprises,  les  jeunes,  les  femmes,  les  travailleurs,
les  médias,   les  peuples  autochtones  et  les  communautés  locales.  L’efficacité  est  renforcée  par  l’engagement  politique  et
Les  vulnérabilités  et  les  risques  climatiques  sont  souvent  réduits  grâce  à  des  lois,  des  politiques,  des  processus  participatifs  et  des
interventions  soigneusement  conçus  et  mis  en  œuvre  qui  traitent  des  inégalités  spécifiques  au  contexte  telles  que  celles  fondées  sur
le  sexe,  l’origine  ethnique,  le  handicap,  l’âge,  le  lieu  et  le  revenu.  (confiance  élevée)
Des  objectifs  clairs,  une  coordination  entre  plusieurs  domaines  politiques  et  des  processus  de  gouvernance  inclusifs  facilitent  une
action  climatique  efficace.  Les  instruments  réglementaires  et  économiques  peuvent  soutenir  des  réductions  importantes  des
émissions  et  la  résilience  climatique  s’ils  sont  étendus  et  appliqués  à  grande  échelle.  Le  développement  résilient  au  changement
climatique  bénéficie  de  l’utilisation  de  diverses  connaissances.

C.7  Le  financement,  la  technologie  et  la  coopération  internationale  sont  des  catalyseurs  essentiels  pour  une  action  climatique  accélérée.  Si
les  objectifs  climatiques  doivent  être  atteints,  le  financement  de  l’adaptation  et  de  l’atténuation  devrait  être  multiplié  par  plusieurs.  Il  existe
suffisamment  de  capitaux  mondiaux  pour  combler  les  déficits  d’investissement  mondiaux,  mais  il  existe  des  obstacles  à  la  réorientation  des
capitaux  vers  l’action  climatique.  L’amélioration  des  systèmes  d’innovation  technologique  est  essentielle  pour  accélérer  l’adoption
généralisée  des  technologies  et  des  pratiques.  Le  renforcement  de  la  coopération  internationale  est  possible  par  de  multiples  canaux.
(confiance  élevée)

———————-

Ceci est une copie des résumés du document original du GIEC

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Nous considérons que le présent projet est contraire aux diverses recommandations présentes dans ce résumé.
Que ce soit au niveau des changements de destination des terres, des GES supplémentaires, inutiles, des disparitions de puits de carbonne, du gaspillage économique, des inégalités sociales, du gaspillage des ressources, du manque d’équité, de l’absence de durabilté de ce type de projet etc.

Ce projet doit être refusé.

NB :

La place que nous occupons dans le paysage Durbuysien est celle décrite dans le chapître C6
« Le  soutien  politique  est  influencé  par  les  acteurs  de  la  société  civile,  y  compris  les  entreprises,  les  jeunes,  les  femmes,  les  travailleurs,
les  médias,   les  peuples  autochtones  et  les  communautés  locales.  L’efficacité  est  renforcée  par  l’engagement  politique

Il va sans dire que nous continuerons, contre vent et marée, même si le « sobriquet d’emmerdeurs » nous colle à la peau, jusqu’à ce que la commune de Durbuy s’engage dans une politique climatique volontariste.
Et ce par tous les moyens légaux.

Bernard Adam


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Author: Bernard Adam
Cuisinier à la retraite

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