Mobilité et pistes cyclables. Dépenser un max pour créer des pistes ? Ou devenir respectueux des autres usagers ?

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Je vois passer des trucs sur “face de bouc ” et celui-ci me fait faire une grimace.
La mobilité est au centre de la vie en ruralité.
La voiture n’est pas un signe de richesse ici mais plutôt un signe d’appauvrissement de la population.
En effet, l’argent dépensé pour l’achat et l’entretient d’une ou deux voitures par ménage n’est pas disponible pour d’autres usages.

C’est là que le vélo peut avoir un effet sur la baisse des coûts de la mobilité.
On peut gratter le sujet mais lorsque l’on parle de mobilité et de partage de la route, le principal problème, c’est la différence de vitesse(s) entre les utilisateurs.

Lorsqu’on voiture renverse un vélo à 90 km/h les chances de survie du cycliste sont quasi nulles.
Si la voiture roule à 30 km/h, les risque d’accident est peu important et les chances de survie quasi totales.

Faisons simple pour une fois.
Pour ne pas dépenser des millions d’€ à tracer des pistes cyclables, on peut limiter la vitesse des véhicules motorisés, petits et gros, électriques ou pas à 30 km/h partout en zone urbanisées et à 50 km/h sur les routes de campagne.

Le choix est souvent le même: soit on dépense du pognon inutilement, soit nous devenons raisonnables et respectueux .

(Source image en avant: https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Jaulzy_%28Oise%29,_piste_cyclable_Couloisy_-_Jaulzy_-_Courtieux.JPG)


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Author: Bernard Adam
Cuisinier à la retraite

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