Pandémies, migrations, climat, trois crises globales qui se télescopent sous nos yeux.
Toutes nous montrent le chemin de la solidarité et de la mobilisation collective.
La solidarité qui a mené tout un pays à s’arrêter pour les plus vulnérables est la même
que celle qui va nous guider pour les victimes des inondations et qui doit répondre au drame des sans-papiers.
Ces crises appellent à une mobilisation collective sans précédent pour rencontrer les causes structurelles
et ne plus chercher à y répondre par des rustines qui ne rencontrent que l’urgence,
jusqu’à la vague suivante, d’eau, de chaleur, de réfugiés ou d’infections.
A Durbuy, on appelle plutôt les touristes à revenir nombreux. Et en voitures vu que les transports en commun, c’est vraiment pas ça. Et on projette encore des parkings, avec étanchéisation des surfaces. Donc : pollution par émissions de gaz toxiques + parkings = tout ce qui ne faut pas faire. “On continue comme toujours, demain est un autre jour”.